« Je me retrouve là-haut, comme s’il était simple de monter les 7 étages. Je ne pèse plus mes actes, je les assume.
La tête embrumée, me voilà éparpillé au quatre coins de la ville, je cherche une raison de sourire, j’y réfléchi encore… Je n’en trouve pas.
Je tourne en rond, je m’en veux, un peu, pas beaucoup, ça dépend de l’heure.
J’ai retrouvé une liberté que je paie au prix fort en emmerdes.
Je, encore à la première personne, je ne pense qu’à moi… Alors je descends boire un café, le serveur sera désagréable, comme les autres jours, mais ça me va… »