Un commentaire

  • Nico dit :

    en revenant en train sur Paname cette aprem’, pas le courage de prendre la moto sous la pluie avec le matériel photo, un journal était posé sur la banquette devant moi… Je crois y lire très rapidement « Jacno », mais rien de plus, et puis je pense à autre chose…
    Puis, devant le journal de 20h qui expose les maladies sociales de ce petit monde qui tourne mal, j’apprends que Jacno n’était pas dans le journal pour rien… il est parti… Mince… Juste après le père Bashung… Je me souviens forcément de ce moment passé avec lui aux Abbesses, à jouer avec l’inscription du plombier derrière lui (lien ici), sa tendresse et sa gentillesse… Bon voyage Monsieur Jacno…

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