Mon ordinaire

Les lieux se transforment… Des murs de cartons s’empilent doucement, brutalement aussi… Il faut avancer, même quand on croise des souvenirs entre deux étagères, des lettres, des post-it oubliés, le Mon ordinaire

Séisme

C’est un peu toujours la même chanson… On se rend compte que nos vies tiennent dans des cartons… C’est déjà ça…

Ouf…

500 kilomètres en moto sous la pluie en suivant le camion… Dur, très dur.