Pas vraiment dans mon assiette, mais je ne lâche rien.
Le salut dans le travail, l’occupation de la tête en évitant l’overclockage.
La vie a ses surprises, et je vais reposer mes 6 mètres cube de carton près des rails de la Gare du Nord, simple coïncidence, mais ça reste étrange.
Je regrette juste que tout ce bordel m’empêchera de partir cet été.
La raison a aussi ses choix, ou plutôt, ses évidences sous contraintes.