J’avais à peine 5 ans… En bas de l’immeuble, je jouais à être Björn Borg, sans le savoir, j’avais vu juste, c’était l’homme qui renvoyait toujours la balle, et qui gagnait… Comme un héros, un modèle, c’est un peu lui que j’avais en tête quand j’ai dis à mes parents que je voulais faire du tennis. Mes parents ne voulaient pas, car ce n’était pas un sport collectif. Trop solitaire, trop personnel… Après une année catastrophique en tant que poussin dans un club de foot, ils cèdent en 1982, m’achetant ma première raquette, mes premières balles, et surtout la première licence FFT.
J’ai jamais été bon, je crois même que j’étais mauvais. Mais j’aimais ça. J’ai arrêté en 1994, car mon binôme de jeu de l’époque, Pierre, avait déménagé sur Lyon…
Et mon prof de tennis ayant changé, plus d’intérêt, plus d’envie…
J’aime toujours, la beauté des gestes, le fair-play de ce sport, même si… Même si je ne sais même plus jouer… Mais ai-je su y jouer un jour?…
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J’avais à peine 5 ans… En bas de l’immeuble, je jouais à être Björn Borg, sans le savoir, j’avais vu juste, c’était l’homme qui renvoyait toujours la balle, et qui gagnait… Comme un héros, un modèle, c’est un peu lui que j’avais en tête quand j’ai dis à mes parents que je voulais faire du tennis. Mes parents ne voulaient pas, car ce n’était pas un sport collectif. Trop solitaire, trop personnel… Après une année catastrophique en tant que poussin dans un club de foot, ils cèdent en 1982, m’achetant ma première raquette, mes premières balles, et surtout la première licence FFT.
J’ai jamais été bon, je crois même que j’étais mauvais. Mais j’aimais ça. J’ai arrêté en 1994, car mon binôme de jeu de l’époque, Pierre, avait déménagé sur Lyon…
Et mon prof de tennis ayant changé, plus d’intérêt, plus d’envie…
J’aime toujours, la beauté des gestes, le fair-play de ce sport, même si… Même si je ne sais même plus jouer… Mais ai-je su y jouer un jour?…